Le duo Helen Merrill/Gordon Beck chantait, en 1984, qu'il n'y avait ni larmes ni adieux. Et pourtant, sur fond de ballades ou de mélodies qui engendrent plutôt la mélancolie, le pianiste tisse à la chanteuse, dans une ambiance parfois churchy, une toile qui confinerait pourtant à un déchirement. Rauque ou claire, "I Love Paris", la voix si particulière d'Helen Me...
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